Fin du Voyage: Perpignan - Barcelone

Et voilà que je me trouve sur un train procedent de Perpignan destination Barcelone.
Et voilà que je suis fatigué. Le voyage complet pour l'Alemagne et la Suisse a eté dur. Enfin... C'est le 3e Avril de 2008. C'est une année fatigante. Et ella va devenir plus fatigante encore. Mais je vais exprimer ça dans des prochaines histoires dans ce blog. Et vous verrez que il n'y a pas de finaux joyeux... Toujours il y a des gens qui souffrent, et habituellement je suis un d'eux. Mais la històrie qui nous tient ici maintenant c'est une belle et jolie histoire.

Et voilà qu eje me trouve sur un train avec destinatioin Barcelone.
A mon coté, une jeune fille étudiante portugaise qui allait de Montpellier a Barcelone en train pour prendre là un avion pour Porto, sa cité. Elle n'etait trop bavardeuse et mon portugais n'est si bon encore pour mantenir une conversation fluide avec quelqu'un qui n'a pas envie de parler. Je me suis mis a écouter ma musique, ma inseparable musique sur mon iPod inseparable aussi.

On est arrivéa Port-Bou - Cervera. Là le Talgo fait l'adaptation de l'amplitude des voies françaises a celle des voies espagnoles. Et là deux filles trés belles ont monté sur le vagon du train. Elles étaient belles et exotiques, mais la chose qui m'a pris plus l'attention c'est son sourire. Elles avaient des sourires si sympatiques... Avec une sorte speciàle d'innocence... En plus, elles étaient trés exotiques. J'ai decouvert plus tard qu'elles venaient d'un île-departament français qui s'appelle Île de Reúnion. J'ai decouvert aussi que cette île c'est une de celles qu'on peut voir dans un cadré sur les billets d'Euros.

J'ai parlé avec elles a cause de ces valises. Elles étaient trop lourdes et j'ai du les aider pour les monter sur le compartiment aux valises du train. Et puis, a Barcelone, j'ai du les aider pour les descendre. Aprés les presentacions, quelques blagues et un brief relat de mes aventures, je m'offre pour leur guider pour Barcelone jusqu'a 17h (il était 12h du matin): a cette heure, des amies a elles arrivent en avion de Paris. Mes neuves amies acceptent mon offre et je les emméne au Camp Nou (stadium du FC Barcelona / Barça!) et pour la zone de Les Corts... Puis on va a Drassanes, au Moll de la Fusta, au Maremagnum et a Les Rambles, oú on prend le repás sur un restaurant trés bon qui s'appelle Attic, dont j'ai dejà parlé ici et dont j'en parlerai a nouveau quelque jour dans ce blog.

Comme ça, il est dejà 17h. Et on va se rencontrer avec ses amies. Et puis je suis nommé guide de la expedition jusqu'a l'appartament qu'elles ont loué. Une des valises aussi c'est ma responsabilité. Une fois dans l'appartament on decide que va a manger, et que je suis un membre avec plen droit de l'expedition. Dans ce moment il y a dejà 9 heures que je ne parle que français. On va prendre le repás sur un resto qui ne me plut rien du tout. Un restaurant qui s'appelait Trobador. J'espère n'avoir jamais l'obligation d'y aller à nouveau.

Aprés le repás on est allé a prendre quelque chose ailleurs... On est allé premièrement au Sidecar, oú on a bu des "combinats". Là on a parlé et on a ri beaucoup. J'étais trés content, je venais just de connaître cinc filles trés sympatiques et agréàbles... Et en plus j'avais la oportunité de practiser le français, ce langue que j'aime autant mais que je n'ai tellement l'ocasion de practiser. Et comme ça on a passé presque toute la nuit, en bavardant, riant et s'amusant avec quelques verres des substances differentes....

Le lendemain je me suis senti trés hereux d'avoir connu des gens si sympatiques, si agréables, si ouverts... Je pourrai dire seulement des choses bonnes de ces filles que j'ai connu...

Mais la chose la plus importante que je peux dire a ce sujet c'est que j'ai gagné beaucoup. Des neuves et valuables amies...

Et mon voyage finisait comme ça.
Le matin suivant, je me levais, je preparais ma valise, j'allais au aeroport pour prendre mon vol pour Madrid. Puis j'allais au match de football, on a gagné. J'ai fait quelques goals. Et j'ai retourné a la vie routinaire, mais avec une pettite disminution de ma solitude habituelle.