Albert Camus, écrivain contemporain de Sartre et de Simenon et qui ha reçú le prix Nobel l'an 1957. Camus, regardé comme le representant du existencialisme atée, etait un pied noir argelien. Avec de la tuberculose, a eté membre de la resistance française au nazisme. L'an 1952 a lieu la rupture de Camus avec son ami et aussi existencialiste Jean-Paul Sartre. Camus trouve sa mort l'an 1960 dans un accident de voiture.
De Camus, le livre le plus connu c'est L'Étranger (1942), possiblement le mieux de ses romans. J'ai aimé beaucoup cet livre et ça m'a fait interesser beaucoup en toute sa production de romans et de pièces du theàtre. J'ai lu la pièce Calígula (1944), j'ai vu la pièce Le Malentendu (1944). Elles m'ont plu sincèrement. Le roman La Peste m'a heurté si sevèrement que il fut necessaire des semaines pour être calme comme avant de le lire.
Le dernier livre que j'ai lu c'est Les Justes, une pièce theatrale qui raconte l'avant, le moment de le aprés d'un atentat terroriste dans la russie tzariste. C'est emovant. Et on peut y reflechir beaucoup et d'y trouver point d'analise dans la situation dans le Pays Basque, par example. C'est facile de lire, et de comprendre. Je le recommande.
Il y a un autre roman qui m'a touché avec beaucoup de force: La Chute. C'est la histoire de la decadènce et la corruption morale des bourgeois. Cet roman me rappele beaucoup au monde de Simenon (Lettre à mon Juge).
L'autre roman que j'ai lu, Le Premier Homme, c'est un roman autobiographique (ou une autobiographie novelée) autour de la figure de son père, a qui il a presque connu. Cet roman, qui a eté publié par sa fille, c'est tres interessant, mais n'est pas fondamental.
Il me manquen des ouvres signifiantes comme L'Envers et l'Endroit, Noces, Le Mythe de Sisiphe, Réflexions sur la Guillotine, L'État de siège, Lettres à un ami allemand, L'Homme Révolté, L'Été et L'Exil et le royaume.
Mais je suis sure que quelque jour le lirai tous ces ouvres qui me manquent. Au revoir.
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