dissabte, d’octubre 14, 2006

Les Justes, Albert Camus (part I)

Parmi tous les ecrivains français, il y en a trois que j'aime plus que les autres. Chacun est diferent, malgré le fait que tous sont contemporains entre eux...

Celui qui je connais le moins, et que j'aime le moins mais qui est un des plus connus c'est Jean-Paul Sartre, dont j'ai lu seulement une ouvre, La Nausée, colomne fondamentale de la pensée existencialiste. (Les choses existent des le moment oú j'y pense). Sartre est un ecrivain plus philosophique et sa grande ouvre, La Nausée c'est un roman tres profonde et prôche a un essai. De Sartre j'admire sa conviction qui l'a emmené a refuser le Prix Nobel en 1964.

Depuis Sartre il y a dans ma vie, Georges Simenon, qui n'est pas existencialiste mais qui, dans quelques de ces romans, crée une atmosphere que j'aime profondement... Je n'ai lu que 10 romans de Simenon, et si loin j'ai trouvé fondamentallement trois classes de romans: le policier, avec l'inspecteur Maigret a la tête; le noir et celui que j'apelle l'humain, ou il décrit des morceaux de la vie des charactères dans des situations limite ou quotidiennes avec, d'aprés moi, une grande connaissence de la condition humaine. De Simenon je n'ai parlé plusieurs fois dans ce blog, et j'en parlerai souvent dans un futur prochain.

Et finalement le protagoniste d'aujoud'hui... Non, je crois que pour aujoud'hui c'est suffissant. Demain parlerai du troisième écrivain français, Albert Camus, l'écrivain français que j'aime le plus, et qui je connais le plus aussi.

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